J’ai eue 18ans l’année de la déclaration de la guerre d’indépendance, je vivais déjà en France, où nous avons eue aussi nos disparus, nos torturés ons morts… J’aime la qualité de votre travail, même si j’ai eue le plaisir de vous entendre pour la première fois aux rencontres d’Averroés à Marseille, où vous m’avez apporté quelques que consolations, parce que pour moi comme pour tant d’autres, nous restons pour lersre de nos vies dans ce » balancement » entre la nécessité de l’oubli, et la nécessité de la mémoire…merci à vous d’entretenir cette dernière par vos travaux.
Rabia Teguia artiviste.
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Par : Teguia
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